A une heure quinze de bus de Santiago, voici Valpo, une jolie cité  célèbre pour ses façades et toits colorés.

Dès notre arrivée, à la recherche des lions de mer, nous échouons bredouilles, sur le port un peu brumeux. faute d’otaries, nous nous mettons en recherche d’un restau. Ce sera le Peral (pas de Perol par ici…), du même nom que le funiculaire pittoresque et du siècle dernier qui nous y dépose. L’endroit est un petit oasis fleuri et perché sur les hauteurs colorées de la cité.

L’adresse est bonne et en effet, on y croise deux couples de Baulois et d’Avignonnais, gourmets comme nous. Qui plus est le décor est au diapason : original et authentique, comme on aime.

Les ruelles escarpées nous aideront à digérer et admirer les street arts qui colorent presque chaque mur. Un chien croisé au hasard de ces couleurs, nous accompagne pour un bout de chemin. juliette le baptise Perro (pas Perrol, non).

Il finira par nous lâcher pour d’autres chats à fouetter. Nous ne lâchons pas l’affaire côté animal marin et reprenons notre quête auprès des habitants fort sympathiques. Ils se tenaient sur un ancien ponton et chillaient tranquillement au dessus des vagues du Pacifique.

Nous quittons Valparaiso, petite ville côtière, qui porte parfaitement son nom, un petit paradis !

(chiller : se détendre ou prendre du bon temps ou même les deux !)